L’été approche à grands pas et avec lui, l’envie irrésistible de se rafraîchir dans une piscine. Que vous rêviez d’un bassin enterré digne d’un palace ou d’une simple piscine gonflable pour barboter en famille, attention aux surprises ! Car derrière le plaisir aquatique se cachent parfois des obligations administratives et financières méconnues.
La taxe qui fait des vagues
Le montant de cette taxe n’est pas des moindres : comptez 200 euros par mètre carré, auxquels s’ajoutent un taux communal et un taux départemental. Autant dire que la facture peut rapidement prendre des proportions olympiques ! Et gare aux contrevenants : ceux qui omettent de déclarer leur construction, négligent de demander un permis à la mairie ou dépassent la surface autorisée s’exposent à des sanctions encore plus salées.
Quand la sécheresse assèche les piscines
Mais l’interdiction ne s’arrête pas là . Arroser son jardin, remplir sa piscine (qu’elle soit enterrée ou hors-sol) ou laver son véhicule sont autant d’activités proscrites. Si pour l’instant, les Pyrénées-Orientales font figure d’exception, d’autres secteurs en alerte sécheresse pourraient bientôt emboîter le pas et imposer des restrictions similaires.
Des amendes qui font transpirer
Et la note peut encore s’alourdir en cas de récidive, avec une peine pouvant atteindre 3 000 euros. De quoi réfléchir à deux fois avant de sortir le tuyau d’arrosage ! Face à ces enjeux environnementaux et financiers, il est plus que jamais crucial de s’informer sur la réglementation en vigueur dans sa région avant de se lancer dans l’aventure aquatique.