UNE SENTENCE CONTESTÉE
Le vendredi suivant, le couperet tombe : la cour d’appel de Douai ordonne l’euthanasie de Toto. Cette décision s’appuie sur un test révélant que le jeune sanglier est porteur de la maladie porcine d’Aujeszky, une affection virale apparentée à la rage, contagieuse et potentiellement mortelle pour les animaux, bien qu’inoffensive pour l’homme. Cette sentence, perçue comme drastique par de nombreux observateurs, déclenche une vague d’indignation et de mobilisation.
Face à cette situation, les soutiens se multiplient. Une pétition en ligne recueille rapidement des milliers de signatures. La famille de Toto affirme avoir reçu l’appui d’un sénateur et d’une députée, démontrant l’ampleur nationale que prend l’affaire. Mais le soutien le plus inattendu vient peut-être de Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières, qui propose d’accueillir Toto dans un parc animalier de sa ville, promettant même d’aménager un enclos individuel pour respecter les contraintes sanitaires.
UN PRÉCÉDENT QUI RAVIVE L’ESPOIR
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