L’APOSTROPHE : UNE ALLIÉE PARFOIS TROMPEUSE
Cependant, dans le cas de « y a-t-il », l’apostrophe n’a pas sa place. En effet, ni le Y ni le T ne résultent d’une élision. L’Académie française est formelle : on n’écrit pas « y’a-t’il ». Le Projet Voltaire confirme cette règle en précisant qu’il n’y a pas de pronom « toi » dans cette expression, ce qui rend l’apostrophe superflue. Ainsi, la première option « Y’a-t’il un problème ? » est à bannir de nos écrits.
LE TRAIT D’UNION : UN OUTIL DE CLARTÉ
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