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Au-delà des Jeux Olympiques de 2024, se pose la question de l’héritage laissé par cet événement. Le « plan Baignade » ne se limite pas aux compétitions olympiques. Il vise à rendre la Seine et la Marne baignables dès 2025, offrant ainsi aux Parisiens et aux visiteurs de nouvelles opportunités de loisirs aquatiques en plein cœur de la capitale.

Cependant, l’expérience de Jolien Vermeylen et d’autres athlètes lors de ces Jeux jette une ombre sur ces ambitions. Si la qualité de l’eau n’est pas à la hauteur pour des compétitions de haut niveau, comment peut-on envisager sereinement l’ouverture du fleuve au grand public ? Le débat sur l’utilisation de la Seine pour les épreuves de natation ne fait que commencer, et il risque de se prolonger bien au-delà de la clôture des Jeux Olympiques de Paris 2024.