La révélation de Karine Le Marchand met en lumière les défis auxquels est confrontée la production de « L’amour est dans le pré ». L’animatrice explique : « L’avantage, c’est qu’on a tourné 15 portraits. De fait, on se laisse l’autorisation de supprimer éventuellement des profils dont on aura fait le portrait qu’on ne diffusera pas dès le début parce qu’on apprend des choses. » Cette déclaration souligne l’importance du travail de vérification effectué par l’équipe de production, même après le tournage des portraits.

Ce processus de sélection rigoureux semble être motivé par un souci de protection, tant des agriculteurs que des prétendants. Karine Le Marchand précise : « Le fait d’être exposé à la télévision fait qu’on a des retours de proches, d’ex, qui parfois nous alertent sur des situations. On est aussi respectueux des prétendants et prétendantes et pour certaines personnes, ce n’est pas le moment. »

Les conséquences sur la dynamique de l’émission