Carla Bruni, forte de son expérience dans le monde de la musique, a tenu à rappeler le caractère universel de cet art. « On ne peut pas mettre d’étiquette aux artistes et les faire rentrer dans une catégorie plutôt que dans une autre », a-t-elle déclaré avec conviction. Pour l’ancienne mannequin devenue chanteuse, la liberté d’expression artistique est primordiale et ne devrait pas être soumise à des considérations nationalistes ou politiques.
Elle a poursuivi en soulignant que le travail d’un artiste « ne porte pas forcément sur un message, il n’a pas de drapeau ou de nationalité ». Cette vision ouverte et inclusive de la musique contraste fortement avec les critiques adressées à Aya Nakamura, accusée par certains de ne pas représenter « l’excellence française ».