UNE EMPRISE DÉVASTATRICE
Dans ses déclarations, Judith Godrèche évoque un sentiment d’emprise qui a marqué son parcours. « J’ai le sentiment que mon enfance m’a été volée », confie-t-elle au Parisien, exprimant la douleur d’une jeunesse confisquée par des adultes en position de pouvoir. L’actrice décrit une histoire qui semble ne jamais s’arrêter, comme si le temps s’était figé sur ces moments traumatisants.
Cette emprise, Godrèche la décrit comme un carcan dont elle a mis des années à se libérer. « J’ai l’impression d’une histoire qui se perpétue, qui ne s’arrête jamais », explique-t-elle, soulignant l’importance de reprendre le contrôle de sa propre narration. Ces révélations mettent en lumière les mécanismes complexes de domination qui peuvent s’installer dans l’industrie du cinéma, où les frontières entre art et exploitation peuvent parfois s’avérer floues.
UNE PRISE DE CONSCIENCE TARDIVE MAIS NÉCESSAIRE
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